Chronique #29 – Rivière-Au-Cerf-Blanc #MarathonDesChroniques2021

Rivière au cerf blanc est un roman jeunesse publié par Véronique Drouin en 2019. Je ne suis, de base, pas très fan des romans d’horreur, même quand il s’agit de littérature jeunesse, mais celui-ci s’est retrouvé dans la liste des romans à lire pour un de mes cours. Et pourtant, je me suis lancée dans sa lecture voracement, attirée par la couverture que je trouve sublime (et aussi parce que je n’ai lu ni le résumé, ni l’indication roman d’horreur et de survie où l’art sert la forêt qui est inscrite derrière). Il faut dire que je l’ai bien regretté, sur le coup, en le lisant la nuit, trouillarde que je suis !

Parce que ce roman, je l’ai lu d’une traite. Dès les premières pages, il m’a fascinée. On suit Estelle et Tristan, un couple qui bat de l’aile et qui se retrouve en plein milieu de la forêt, à faire du camping, dans une vaine tentative de recoller les morceaux entre eux. Mais, bien rapidement, au fil des œuvres d’art éphémères disséminées à travers les bois, la situation tourne … au massacre !

La plume de l’autrice m’a fait frissonner sans me laisser de répit, à l’image d’Estelle qui se retrouve à fuir constamment une menace de plus en plus grandissante. J’ai tout simplement adoré découvrir le land art, cet art éphémère dans la forêt. Angoissant et fascinant sont les deux mots pour décrire parfaitement ma lecture, que je ne peux que vous conseiller ! Les 200 et quelques pages ont passé en un clin d’œil !

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